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Installer l'application Non merciConstruit sur les terrains de l’ancienne usine à gaz de Paris à Clichy, le parc des Impressionnistes doit son nom aux peintres qui passèrent par le quartier du bac d’Asnières à la fin du XIXe siècle : Paul Signac, Emile Bernard, Georges Seurat ...
Cette partie, qui représente environ ¼ de la surface totale du parc actuel, vient compléter les 5 hectares d’espaces verts accessibles aux Clichois.
Cette deuxième tranche constitue le prolongement de ce parc urbain, écologique et environnemental, au cœur de la ZAC du Bac d’Asnières.
La particularité de cette partie du parc est d’être un lieu privilégié, favorisant la connexion sur l’ensemble de la ZAC du Bac d’Asnières. Il s’agit d’un vrai lieu urbain reliant à la fois la Seine à la ville, et allant jusqu’à la gare SNCF. Par ailleurs, ce jardin perché, conçu sur les anciens chantiers de Gustave Eiffel, lieu de construction des gazomètres, est un vrai poumon vert dans une ville de première couronne.
Le Parc des Impressionnistes doit son nom aux peintres qui passèrent par le quartier du bac d’Asnières à la fin du XIXème siècle. Ils furent nombreux à installer leur trépied entre la butte Montmartre et les îles de la Seine le long d’Asnières et Clichy pour y peindre le paysage industriel, la Seine et ses ponts. Ceux que la critique a regroupés sous le terme d’Impressionnistes ont laissé des témoignages inestimables sur ce lieu : Charles Angrand, Emile Bernard, Paul Signac, Georges Seurat et bien sûr Vincent Van Gogh.
Ainsi, l’entretien ne s’applique pas à tous les espaces avec la même intensité ou la même nature de soins (limitation de la tonte, du fauchage ou coupe des végétaux). Ces actions favorisent le développement d’un écosystème naturel typique du bassin parisien et la biodiversité végétale et animale.
Ils sont conçus comme des espaces de régénération naturelle. La gestion limitée choisie pour ces espaces contribue à la formation de niches écologiques favorables à l’établissement de la faune sauvage et permet de rendre au sol sa biodiversité animale.
Cet espace végétal fait l’objet d’une gestion différenciée, c’est-à-dire un fauchage une fois par an. Ce mode de gestion favorise la biodiversité végétale et animale de plein soleil.
L’arboretum compte plus de 30 essences d’arbres. Il présente des espèces d’arbres exotiques (eucalyptus, acacia) aux côtés d’espèces endémiques, c’est-à-dire d’origine locale, telles que le tilleul, le hêtre et le chêne rouge.
Ces cinq bassins artificiels recréent la biodiversité d’un espace humide. Les végétaux sélectionnés sont des plantes phyto-épuratrices et oxygénantes locales : lotus, nénuphar...
Cet environnement favorise l’apparition d’une biodiversité d’insectes, d’oiseaux et de petits animaux adaptés à ce milieu.
Les graminées sont des plantes vivaces qui se régénèrent tous les ans. Suivant le mouvement du vent et au niveau du sol, les végétaux de cet espace relient les deux parties du parc au dessus du pont de biais, et abritent le boulodrome aménagé le long de la rue Pierre Bérégovoy.
L’arboretum compte 34 essences. Le projet de cet espace est de montrer des espèces exotiques et endémiques. Les espèces endémiques sont celles qui se sont développées sur le continent européen : tilleul, pin sylvestre, hêtre, chêne rouge… D’autres espèces aujourd’hui communes dans la région parisienne sont en provenance d’autres continents ou régions : platane, févier, orme de Hongrie…